LES VOITURES LES PLUS VOLEES EN 2017

Le magazine Auto Plus vient de publier le classement des 50 modèles les plus volés en France au cours de l’année 2017.

Les vols de véhicules sont moins fréquents. En 2017, la France a compté 285 voitures volées par jour soit une baisse de 5,1 % par rapport à 2016.

Dans le classement qui recense 40 voitures, la Smart Fortwo décroche la première place. La citadine devance la Clio 4 et le Range Rover Evoque qui était en tête en 2016.

Si la Smart Fortwo se trouve être le véhicule plus volé l’année dernière, c’est en partie à cause du fait qu’il représente un modèle « vulnérable à l’effraction ». Son système électronique serait en effet facile à pirater. A l’inverse, le Range Rover Evoque a été équipé d’un nouveau système de protection.

Ce qui frappe également, c’est l’importance du nombre de modèles du constructeur Renault qui est à signaler dans ce palmarès 2017.

Outre la seconde place de la Clio 4, les véhicules Captur, Espace 5, et Mégane 4 figurent assez haut dans la liste.

Selon Auto Plus, cette forte présence est due à une mauvaise protection. Le système de démarrage de la Clio 4 serait par exemple facile à pirater. Les vols d’automobiles passent en effet de plus en plus par une maîtrise de la technique, du numérique appelée « mouse jacking ».

Cette technique consiste à passer par un ordinateur pour pirater le tableau de bord de la voiture. Plus besoin de clé ou de fracturer une serrure, le « mouse jacking » représente la technique la plus utilisée pour voler un véhicule.

assurance des prêts

                                                                                        

A partir du 1er janvier 2018 le marché de l’assurance des prêts immobiliers sera plus concurrentiel.

Les emprunteurs pourront en effet changer leur assurance d’emprunt à chaque échéance annuelle. Une économie moyenne de 6310 euros sur la durée du prêt est à prévoir selon les cas.

La mise en place d’un nouvel amendement

Une économie de 25% sur la durée du prêt est envisageable.

L’amendement Bourquin, qui a été voté en février 2017, va se mettre en place à partir du 1er janvier prochain.

Cet amendement va permettre aux emprunteurs de renégocier leur assurance de prêt, et ce chaque année. Il sera également possible de le faire pour ceux contractés il y a plusieurs années. Les clients vont donc avoir la possibilité de signer des contrats d’assurance dans un autre établissement que leur banque habituelle.

Actuellement, avoir son crédit assuré par la banque prêteuse est plus que courant puisqu’il s’agit du cas de 88% des emprunteurs.

Des marges qui s’envolent

Alors que lorsqu’elles assurent elles-mêmes les banques réalisent des marges de 40%, voire 70% dans certains cas, les emprunteurs voient le coût total de leur crédit grimper.

La part de l’assurance de l’emprunt peut représenter jusqu’à 30% de ce coût total.

La mise en place de cet amendement va alors permettre aux emprunteurs de faire une économie de 25% sur la durée de leur prêt.

Pour plus de 8 millions de titulaires, la FFSA (Fédération Française des Sociétés d’Assurance) présente un montant des cotisations des contrats d’assurance emprunteur de 8.8 milliards d’euros pour l’année 2016.

L’économie répartie sur la durée des crédits sera donc non négligeable. Elle représenterait 2.8 milliards si seulement 8% des clients éligibles changent d’assurance l’an prochain.

Ce nouvel amendement va donc augmenter la possibilité de changement puisque à chaque date anniversaire du contrat il sera possible de changer d’assurance emprunteur.

Les conditions portant sur les garanties d’assurances seront cependant les mêmes que celles existantes auparavant, à savoir une équivalence des garanties entre le contrat d’assurance de la banque et celui de l’assureur délégataire.

Le cabinet AICG a anticipé ce « virage » et dispose de solutions d’assurance performantes auprès de ses partenaires assureurs. N’hésitez pas à nous consulter !

Frédéric C.

 

Assurance emprunteur

                                                                                                       ASSURANCE EMPRUNTEUR
Alors que le libre choix de son assurance-crédit existe depuis l’entrée en vigueur de la loi Hamon en 2014, il semblerait que la loi ne parvienne pas à se mettre en place, ce qui a tendance à agacer l’autorité de contrôle des banques et assureurs (ACPR) qui vient de publier une recommandation pour contraindre les banques à appliquer la loi.
L’ACPR vient de sortir un document décrivant précisément les bonnes pratiques à destination des banques nécessaires pour mettre fin aux 2 grandes catégories de comportements répréhensibles (l’information des consommateurs et le traitement des demandes) selon l’autorité elle-même, et selon la loi.
Voici les grandes lignes de ce document :
• la banque doit remettre le plus tôt possible au client une fiche personnalisée qui détaille les garanties apportées par le contrat groupe au client, selon son profil
• la liste standardisée de ces garanties (équivalence des contrats de groupe et individuels) doit être présentée de manière claire et exhaustive.
• la banque ne peut modifier le taux applicable au prêt ou exiger le paiement de frais supplémentaires notamment liés aux travaux d’analyse du contrat externe.
• la banque doit indiquer par écrit au demandeur, dans un délai de l’ordre de 2 à 3 jours ouvrés, les documents ou informations manquants afin de pouvoir considérer la demande comme recevable
• la banque doit répondre aux demandes de remplacement de l’assurance des emprunteurs dans des délais compatibles avec l’opération immobilière en cours
• si refus de la banque, l’établissement devra mentionner par courrier les défauts d’équivalence qui le justifie. Cela doit permettre au consommateur de rectifier facilement sa demande .
Parallèlement aux méthodes abusives des banques, ces dernières pratiquent également des tarifs prohibitifs.
(source: assurland)
N’hésitez donc pas à nous solliciter pour l’assurance lors de la souscription de vos emprunts de toutes sortes où à l’occasion d’une renégociation !

La responsabilité civile personnelle du dirigeant, atout majeur d’un chef d’entreprise

Chaque jour, plus de 10 chefs d’entreprises sont placés en garde à vue et 50000 poursuites personnelles sont recensées à leur encontre chaque année.

L’assurance en responsabilité civile personnelle du dirigeant a pour fonction d’épauler ce dernier et de l’indemniser lorsqu’il est mis en cause pour une faute – réelle ou supposée – commise dans l’exercice de ses fonctions.

Nul ne peut le contester : le dirigeant d’entreprise occupe, par nature, une fonction particulièrement exposée. Dans le cadre de ses relations quotidiennes avec ses salariés, ses actionnaires, ses clients ou d’autres entreprises, des conflits complexes et multiples peuvent éclater à tout moment et se terminer devant les tribunaux. Or, il arrive que la responsabilité civile professionnelle mise en jeu ne soit pas celle de l’entreprise, mais bien celle de son dirigeant à titre personnel, même lorsque ce dernier n’a fait qu’agir dans l’exercice de ses fonctions.

Dans une telle situation, l’assurance classique en responsabilité civile professionnelle ne suffira pas et il est vivement conseillé de souscrire en supplément une assurance « responsabilité civile personnelle de dirigeant ».

De quoi s’agit-il, et quels sont ses avantages ?

« La responsabilité civile des dirigeants et mandataires sociaux est un moyen de préserver le patrimoine privé des dirigeants qui sont responsables sur leurs biens personnels »

Il s’agit de garantir les conséquences pécuniaires de la responsabilité civile des dirigeants du fait de fautes commises dans l’exercice de leurs fonctions (infraction aux lois et aux règlements, violation de statuts ou faute de gestions…)

La formule en « responsabilité civile personnelle de dirigeant » s’adresse en priorité aux « mandataires sociaux » de certains types d’entreprises, comme les SARL, SA, SAS mais également aux TPE dont le chiffre d’affaires peut être inférieur à 500.000€, à l’exclusion des professions libérales et des entreprises individuelles.

Cela inclut non seulement le directeur général mais aussi par exemple les différents membres d’un directoire, d’un conseil d’administration ou d’un conseil de surveillance. Même un cadre salarié de l’entreprise peut être éligible à une assurance en responsabilité civile personnelle s’il reçoit de la part de sa direction, par exemple, une délégation de pouvoir sur une filiale et devient ainsi un dirigeant « de fait ».

Quelles fautes du dirigeant sont couvertes ?

L’assurance en responsabilité civile personnelle du dirigeant a pour fonction de l’épauler et de l’indemniser lorsqu’il est mis en cause pour une faute – réelle ou supposée – commise dans l’exercice de ses fonctions. La faute en question peut avoir une nature variable, ce qui inclut :

  • Le non-respect d’un texte réglementaire ou d’un texte de loi, soit une « erreur de droit ». Il peut s’agir par exemple d’une mauvaise mise en application (ou de l’absence totale de mise en application) d’une nouvelle règle d’hygiène et de sécurité au sein de l’entreprise, ce qui a entraîné ensuite un accident du travail.
  • Le non-respect des statuts de l’entreprise. On peut citer ici l’absence ou le retard de convocation de l’assemblée générale pour un motif justifiant pourtant sa saisine, le lancement de l’entreprise sur un nouveau marché non prévu dans son objet social, le court-circuitage des organes de direction dans la prise de décision…
  • Une faute de gestion comme une erreur dans la tenue de la comptabilité, un endettement excessif et sans fondement de la société, une politique de dividende trop généreuse à l’égard des actionnaires, une cessation de paiement survenue de façon beaucoup trop tardive…
  • De manière plus générale, les omissions et négligences de toutes sortes.

Deux garanties de base prévues :

L’assurance du dirigeant contient systématiquement deux garanties de base, qui font tout son intérêt. Dès lors que la responsabilité civile personnelle de l’assuré est mise en cause en tant que dirigeant de l’entreprise, l’assureur intervient pour :

  1. Couvrir l’ensemble des frais de défense, au civil mais aussi au pénal. Le contrat d’assurance retient généralement une conception assez large de ces frais de procédure, et inclut par exemple les frais consentis par l’assuré pour se présenter à une comparution, les honoraires de l’avocat, le paiement d’une caution…
  2. Prendre à sa charge les dommages et intérêts prononcés par une juridiction civile. Le dirigeant n’est ainsi plus redevable sur ses deniers personnels d’une faute de nature civile qu’il aurait commise dans l’exercice de ses fonctions. Il s’agit d’une excellente formule pour protéger sa famille et ses biens dans la mesure où les montants en jeu sont parfois considérables.

Notre conseil : tenez-vous informé sur vos droits et vos obligations afin de prévenir la naissance d’un litige et ainsi éviter d’être attaqué en justice.

 

(source : jechange.fr)